LES TERRORISTES DU COEUR

Respect et solidarité envers tous les terroristes démunis.
Bénévolat, sans aucune survie directe ou indirecte.
Engagement à vie sur une responsabilité forcée.
Convivialité, esprit d'équipe, rigueur et bouts de viande brûlée dans l'action.
Dépendance complète à l'égard du politique et du religieux.

PARCE QUE PERSONNE NE DEVRAIT

ETRE PRIVE DE PAIN

DE PLASTIC

ON COMPTE SUR VOUS

Le Rapporteur spécial des Nations Unies pour la protection et la promotion des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans la lutte contre le terrorisme, Martin Scheinin, a plaidé pour que la lutte contre le terrorisme ne serve pas de prétexte à la répression de droits et d’aspirations légitimes. M. Scheinin, qui a présenté mercredi un rapport à l’Assemblée générale de l’ONU, a déclaré à la presse à New York, qu’il avait constaté un soutien croissant à la perception selon laquelle "les droits de l’homme et leur respect ne compromettent pas l’efficacité de la lutte contre le terrorisme mais au contraire constituent la pierre angulaire de toute stratégie". Il a déploré que des gouvernements se servent du prétexte de la lutte contre le terrorisme pour réprimer les minorités et combattre le droit à l’auto-détermination. A cet égard, il a rappelé que les discriminations religieuses et ethniques et l’exclusion socioéconomique et politique créent un terrain favorable au terrorisme. Résumant le contenu de son rapport, M. Scheinin a précisé que celui-ci porte plus particulièrement sur l’impact des mesures antiterroristes sur le droit d’association qui est protégé par les traités internationaux. Le rapport porte également sur l’établissement de listes dans le cadre des régimes de sanctions et souligne la nécessité de disposer d’une définition claire et précise du terrorisme et des actes terroristes au niveau national et international. Selon le rapport, l’inclusion sur ces listes doit être provisoire et révisée régulièrement et les entités listées doivent également pouvoir bénéficier de suffisamment de garde-fous, y compris de nature juridique. Il est de la responsabilité des gouvernements qui imposent de telles sanctions de prévoir un mécanisme d’examen permettant de garantir leur adéquation avec le régime des droits de l’homme.

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